C'est la maltraitance qui me choque, pas la mise à mort.

La mise à mort d'un être sensible hors de toute nécessité est en elle-même une injustice et la pire des maltraitance qui puisse lui être infligée. Devant un tribunal, les actes de tortures et de barbarie sont en effet considérés comme des circonstances aggravantes. L'absence de maltraitance n'est pas pour autant reçue comme une circonstance atténuante et n'acquitte en rien du meurtre commis.

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